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CONTRE ATTACK
19 septembre 2009

PATAPHYSIQUE 2

Mémoire concernant le calcul numérique de Dieu
par des méthodes simples et fausses




Divers calculs concernant Dieu dont certains sont faux




quot;sans-serif"; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR;">Dieu égale-t-y D + i + e + u
ou D * i * e * u ?


Le présent cahier concernait plutôt le cas où...
LE CAS OÙ C'EST +


http://www.borisvian.fr/images/espaceur_black.gif


Voir
Si i =
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif - 1

http://www.borisvian.fr/images/espaceur_black.gif

Dieu = Dux + i + e
= Dux + 2,71828... +
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif - 1

? 



Mais peut-on mélanger le français et le latin (oui, si on veut).

http://www.borisvian.fr/images/espaceur_black.gif 

Ultérieurement 



voir si
dans
Deux e = 2,718281828...
auquel cas
Dux = 2 - 2,71828...

Le général romain est inférieur à l'unité, et même négatif, ce que l'on soupconnait.
De sorte que son produit par un autre lui-même peut ètre positif mais reste < 0. L'enfant de deux généraux pédérastes ne peut donc ètre qu'un minus.
À qu'il ne s'agisse de Pierre Dux, ce qui change tout.


[1]
Dieu = deux + i - x = 2 + i - x
[2]
Dieu + Dieu =
Ah. Ici, première incertitude.

[3] 

Dieu + Dieu = Dieu
Dieux = 2 + i


[3 bis]

( 2 + i - x ) + ( 2 + i - x ) = 2 + i
4 + 2i - 2x - 2 - i = 0
2 + i - 2x = 0

[4] 

x = ( 2 + i ) / 2 = 1 + i / 2


[4 Bis]

Dieu = 2 + i - 1 - 1 / 2 = 1 + 1 / 2


i est-il la racine carrée de - 1 comme en mathématique ordinaire ?

http://www.borisvian.fr/images/espaceur_black.gif

ou = deux Dieux ?
= 2 ( 2 + i )
On verra ca après. Peut-être que c'est le double de ce qu'on va trouver à gauche.









On pouvait s'en douter évidemment, mais pas moi.
Car si Dieu = ( 2 Dieux ) / 2
évidemment x = 1
Et Dieu = 1 + i [4 quater]


[4 quater]
Si oui, Dieu = 1 + http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif-1 / 2 <--- Oui, c'est ca par conséquent.

[4] Dieu est un nombre complexe égal à l'unité augmentée de la moitié de l'imaginaire http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif- 1

http://www.borisvian.fr/images/espaceur_black.gif

Ou alors, c'est le double de ca, soit
2 + http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif- 1

Mais voyons les choses de plus près, en profitant d'une curieuse propriété du nombre deux qui veut que dans certaines conditions définies ailleurs par le Tr. Em'. Satrape Queneau, GCOGG, deux et deux fassent quatre.


Ce qui s'écrit 2 + 2 = 4
(ou 2 x 2 = 4, cas particulier d'addition où la petite croix n'est pas restée sur sa pointe) (mais où ca ne change rien).

Or Deux = Dieux - i
( Deux x Deux ) = 4 peut s'écrire
( Dieu - i )² = 4

[5]

c'est-à-dire (Dieux)² - 2 Dieux i + i² = 4


ou encore

[5 bis]

Dieux² - 2i Dieux + i² - 4 = 0


Polynôme du second degré en Dieux dont on peut déduire la valeur numérique de Dieux en fonction de i ; (or comme Dieu = Dieu)

FAUX



[6]

Dieu = ( 2i ± 2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif2( i² + 2 ) )/2
= i ± 2
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif1 + i²/2



Provisoirement, on peut supposer que

Dieu = Dieu

(bien qu'il y ait des volumes entiers à écrire sur ce signe égale qui comporte une part d'autonégation, puisqu'il relie toujours deux nombres et que s'ils étaient égaux, on n'aurait pas besoin de le dire ; ca se verrait, ou plutôt ca ne ce verrait pas car il n'y en aurait qu'un - de ce principe découle d'ailleurs une algèbre entièrement nouvelle, où ce signe est supprimé, et telle que lorsqu'on écrit 1, cela veut dire 1 = 1 ; nous la développerons un jour).

Bref, si Dieu = Dieu
l'équation [4 bis] = l'équation [6]


[7]

et i ± 2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif1 + i² / 2 = 1 + i / 2


Il vient aussitôt

[7 bis]

1 - i / 2 = ± 2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif(1 + i² / 2)


Élevons au carré les deux membres de cette égalité, ce qui ne saurait manquer de leur faire plaisir :

[8]

1 - i + i² / 4 = 4 (1 + i² / 2)

Ou en développant, en faisant tout passer dans le premier membre, en ordonnant par rapport à i et en éléminant un sacré 4 qui nous emmerde au dénominateur (non sans changer les signes) :


7 i² + 4 i + 12 = 0

D'où i = (- 4 ±
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif16 - 4 (7 x 12) )/14

= ( - 4 ±
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif16(1 -21) )/14

[9]

i = (4 [ - 1 ± http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif4(-5)])/14

= 2 / 7 (- 1 ± 2
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif-5)

Reportons sournoisement cette valeur de i dans la capitale équation [4 bis]

Dieu = 1 + i / 2

il vient :

Dieu = 1 + 2 / 7 ( - 1 ± 2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif5

Ou encore

Dieu = 5 / 7 ± (2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif-5) / 7

[10]





Dieu = ( 5 ± 2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif-5) / 7



Évidemment, dans le cas où Dieux = 2 ( 2 + i )
Il faut recommencer le calcul.

Mais la formule actuellement trouvée [10] présente un caractère de plausibilité suffisant pour que nous la conservions.

Cependant !
Ce n'est pas tout
Car, à supposer que la petite croix se tienne sur la pointe

Dieux + Dieux = 4

[10 bis]

(Dieux - i) + (Dieux - i) = 4

Dieux + Dieux - 2i = 4





Mais : Dieux et Dieux ca fait toujours Dieux !



donc
[11]

Dieux - 2i = 4

Or : Dieux = Dieux + i = 2 + i

2 + i - 2i = 4 ou 2 - i - 4 = 0

Ou i = - 2

Et en reportant dans [4 bis]

[12]





Dieu = 1 - 1 = 0




...Pourtant il y a encore quelque chose.
Reprenons le cas singulier ou Dieu = 1 + i ( voir [4 quater])

[13]

Deux x Deux = 4 = (Dieux - i) (Dieux - i)

(2 + i) (2 + i) = 4

4i + i² = 0

i = (- 4 ±
http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif(16 - 16) ) / 2

i = -2

[14]

Donc : Dieux = 1 + i = -1

Ah ; voilà déjà plusieurs valeurs de Dieu qui semblent sortir de l'ordinaire.
A vrai dire, Dieu est durdéterminé ; on dispose pour le calculer de trop d'équations ; il est bon de dire que Dieu nombre devait évidement jouir de propriét&eacte;s singulière.

Bref, les résultats résultant du groupement asticieux des diverses équations où intervient Dieu permettent d'avancer un certain nombre d'affirmations qui pourront rénover utilement la science du nombre.
Elles sont ainsi r&eacutesumées :

[15]

Dieu = -1 = (5 ± 2 http://www.borisvian.fr/images/lettre_racine.gif-5) / 7 = 0

Ce qui fait trois valeurs (la sainte trinité) et le zéro qui peut vouloir dire n'importe quoi. On appercevra immédiatement que le fait de considérer le zéro comme un chiffre, ou même comme quelque chose, constitue une hérésie. C'est pourquoi nous proposont d'attacher au zéro un caractère de nullité afin de ne pas contrevenir au dogme. après tout, on peut très bien s'en passer, et de la sorte, Dieu restera limité à trois valeurs. On en déduira également de curieux rapports nouveau entre le 1, le 2 , le 5 et le 7 ; on s'en doutais évidemment ; ces chiffres ont toujours été chargés de significations particulières (semaine de 7 jours, dont 5 de travail, etc.) et l'on devinera aisément leur connexion étroite avec l'être divin.
On constatera enfin que la connaissance approfondie de Dieu n'exige qu'un bagage mathématique élémentaire,
ce qui justifie l'enseignement aux enfants du catéchisme dans les écoles. Il y a, malgré tout, une conséquence fâcheuse aux calculs qui précèdent :
C'est que tout individu d'un ordre de grandeur un peu élevé (Dupont = 137, par exemple) peut à bon droit se déclarer supérieur à Dieu ; Ma foi, pourquoi pas.

Nous arrêterons là ces commentaires que l'on pourrait développer longuement.


N.B. :
Il est bien entendu, dans tout ce qui précède, que Dieu est français. En anglais, le calcul serait plus compliqué et ferait intervenir, à cause de Newton sans doute, la constante de gravité G ...

 

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